« I became insane, with long intervals of horrible sanity. »
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Sujet: The disease that we crave ; Esterina Salvator Dim 2 Oct - 21:04
the disease that we crave.
Konstantin venait littéralement de se jeter hors de sa chambre, courant dans les couloirs comme un dératé, comme s'il était poursuivi par la réincarnation de Jack l'éventreur. Pourtant, il n'y avait personne à ses trousses. Personne d'autre que son chien, Nox, qui ne comprenait pas grand chose à toute cette histoire, mais courait derrière son maître sans se poser de questions, parce qu'il avait été formaté pour cela. Le détective poussa la grande porte et s'élança d'un pas rapide sur le chemin de gravillons qui menait à l'arrière du château. Il avait besoin d'un endroit calme, il ne supportait plus les quatre murs de sa chambre, qui enserraient son esprit comme un étau. Elle lui semblait ridiculement petite, à côté de son appartement de New-York. Il avait perdu l'habitude des chambres d'hôtel et autres lieux semblables, qu'il fréquentait souvent jadis lors de ses enquêtes... Il se dirigea d'un pas rapide vers le lac. Il devait être aux alentours de dix-neuf heures, la nuit n'était pas loin de tomber, mais peu lui importait. Il resterait là toute la nuit s'il le fallait, mais hors de question de retourner entre ces murs, d'être à nouveau prisonnier... Bientôt, le bruit de la cascade lui parvint, semblable à un doux murmure. Il esquissa un sourire soulagé en constatant que l’endroit était désert, et s'affala au pied d'un vieux saule pleureur qui poussait au bord de l'eau, non sans avoir regardé plusieurs fois autour de lui pour vérifier qu'il était bien seul... Délires paranoïaques et claustrophobie dus à un état de stress post-traumatique, d'après sa psychologue. La bonne blague. Qu'en savait-elle, d'abord, cette idiote-là. Avec ses sourires aguicheurs et son décolleté beaucoup trop plongeant, elle était juste bonne à tenter vainement de draguer ses malheureux clients (dont Konstantin, à son plus grand dam). Mais au fond, elle se fichait pas mal de ce qu'il avait vécu, elle n'était pas dans sa tête, elle ne pouvait pas voir ce qu'il voyait... Tant qu'elle était payée, elle voulait bien lui servir tous les « ça va s'arranger » du monde, mais l'état d'esprit de Konstantin avait-il changé depuis qu'il la voyait ? Non. Absolument pas. Conclusion : psys = arnaque.
Le détective ouvrit alors son vieil exemplaire des Nouvelles Histoires extraordinaires d'Edgar Poe, qu'il emportait toujours avec lui et nota soigneusement 'Virer cette psy de merde' au crayon à papier, dans la marge de la première page. Il s'allongea ensuite dans l'herbe fraiche et son regard se posa sur le doberman pantelant, assis à côté de lui. Il commençait à en avoir un peu assez de devoir se trimbaler un chien toute la journée, alors qu'il n'était pas comme tous ces gens qui vivaient au château, et qui eux ne pouvaient se passer de leur animal. Oui, il en avait marre de cet endroit. Et qui plus est, il ne comprenait pas l'obsession qu'avait John, son patron, pour cette histoire de transformation et autres bizarreries qui se tramaient entre les murs du château de Brockhurst. Ces gens n'avaient pas l'air d'en vouloir à qui que ce soit, et encore moins de menacer la société et l'ordre public. Alors à quoi bon les espionner ainsi ? Enfin bon, du moment que son compte en banque se remplissait régulièrement Konstantin se fichait pas mal de ce qu'il adviendrait de tout ce petit monde. Il poussa un profond soupir et détourna son regard de Nox, pour le poser sur la cascade. C'était sans doute à ses yeux l'endroit le plus reposant et le plus beau de Brockhurst. Il se jura alors, quand il serait rentré chez lui, de s'acheter une cascade décorative, qu'il mettrait dans son salon pour l'aider à se détendre et faire « feng-shui » comme dirait sa psy. Il rouvrit soudain son livre et rajouta 'Et lui dire d'aller se faire refaire les seins, parce que ça va pas du tout' à côté de ce qu'il venait de noter, avant de le reposer à côté de lui avec un sourire satisfait. Il se sentait bien, à cet instant précis. Et cela aurait pu durer encore quelques heures... s'il n'avait alors reconnu l’insupportable son que produisent d'ordinaire des pas sur le sol. Quelqu'un était visiblement en train de marcher dans sa direction, et cela l'exaspéra. Cependant, il ne bougea pas d'un pouce. La flemme. De toute façon, enquête ou pas enquête, ça ne servait à rien de courir après les gens. Si cette personne avait envie de lui parler, elle n'avait qu'à venir, et il la cuisinerait à sa façon. Sinon... tant pis.
Esterina Salvatore
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator Jeu 9 Fév - 1:34
Esterina faisait les milles pas dans son petite appartement, dire qu'avant elle habitait dans une demeur qui était énorme. Sa chambre avait la grosseur d'un maison normal et la elle tombait dans une petite appartement avec de vieux objet. elle commencait a avoir hate que ses parents lui envoye sont argent hebdomadaire avec elle pourra acheter un cousin énorme pour Amarok et se débarraser de son lit grincant qu'il avant dans la chambre... en réalitée elle avait envie de rénover tout.
Le pire c'est qu'elle pourrais demander a ses parents de lui envoyer quelqun de la maison, mais en même temps elle n'avait aucune envie de se sentir redevable ou sentir le jugement de ses parents. Bon elle était riche, mais elle ne devait pas en abuser. COmplétement exaspéré de tournée en roud elle retira son pyjama qu'elle avait déja vêtu et enfila un maillot de bain d'un mauve comme les ténébres. Par dessus elle enfila une robe noire simplette et comme petite réchaud elle mi une cap rouge a capuche.
Elle adorait cette cap, elle lui faisait resembler au chaperon rouge, mais tant qu'a vivre avec un loup a ces trousse pourquoi pas le faire juste qu'au bout?. elle prépara un pic-nic assez gros pour passer des morceau a Amarok, trouva une serviette, une caméra et autre objet utile. Esterina attela le loup comme on le ferait avec un mullet. Rapidement elle sortit de chateau. L'aire frais de la soirée redonna le sourire a la belle et faisait vircoltée sa chevelure de jais.
L'animal la guidait silencieusement dans la noirceur de la foret, pendant sa chasse de la journée il avait découvert au fond du bois une merveuilleuse chute, calme et appréciable. S'enfonçant de les branche les deux compagnons marcha plusieurs minutes avant d'entendre le dox son de la cascade. Tout a coup Esterina regarda Amarok qui grondait, il avait sentit l'odeur humaine. La jeune femme calma son animal du carresse douce.
Se laissant découvrire des ombre des arbres elle se montra a l'homme assis au pied d'un chêne, il avait avec lui un chien au allures fines. La vision qu'elle devait offrir a celui-ci devait lui être étrange. Elle son chaperon et son loup géant. elle se laissa guider par son instinc et laissa échapper quelque mots:
"bonjour, je me nomme Esterina, es ce que je vous dérange."
La jeune femme avait utilisée sa voix cristalin. elle ne voulait pas déranger. Dans sa tête Amarok lui dit qu'il trouvait que l'odeur des deux être vivant était étrange. Elle n'y pretta que peu d'attention. Elle savait que la bête avait un odorat particulièrement puissante. habituellement grace a elle, il pouvait dire si l'humain était animal ou si il baladait son animal avec lui. Pour l'instant, faire la connaissance de l'homme était plus pationnante qu'écouter les crainte que l'animal avait en pratiquement tout les hommes du chateau
Konstantin H. Reinhardt
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator Ven 10 Fév - 19:48
Les pas semblaient s'être arrêtés à quelques mètres de Konstantin. Ce dernier sentit alors le doberman assis à ses côtés se lever d'un coup, le poil hérissé, grondant d'un air apeuré. Il tourna alors la tête sur le côté, histoire de voir ce qui pouvait bien effrayer son chien de la sorte, et ouvrit des yeux ronds en voyant quatre énormes pattes griffues qui se tenaient bien droites devant lui. Oh Gott in Himmel, qu'était-ce encore que cette animal-là... Il ne se ferait décidément jamais à toutes les bizarreries que recelait ce château. Il se redressa et vint se rasseoir contre le tronc du saule pleureur, après avoir épousseté sa veste. Son regard se posa à nouveau sur l'énorme bête poilue qui le dévisageait à seulement quelques mètres. C'était un loup. Un loup gigantesque. Pas étonnant que Nox ait eu peur. Celui-là, un rien l'effrayait, c'est tout juste s'il n'avait pas peur de son ombre... Enfin, le plus intéressant n'était pas ce canidé à la taille démesurée, mais plutôt la jeune femme qui l'accompagnait, juchée sur son dos comme s'il s'agissait d'un poney. Cela arracha un sourire amusé au détective. Il eut un instant l'impression d'être tombé au beau milieu d'un conte de fée pour enfant, comme Alice était jadis tombée dans le terrier du lapin blanc. Elle avait quelque chose de presque surnaturelle, cette jeune femme, avec sa robe noire légère et sa cape rouge qui se balançait doucement avec la brise, telle un petit chaperon rouge. Quel étrange duo...
▬ Bonjour, je me nomme Esterina. Est-ce que je vous dérange ? ▬ Oh, non, pas du tout.
Répondit le détective d'une voix douce, essayant tant bien que mal de maintenir accroché à ses lèvres le sourire aimable (et parfaitement faux) qu'il esquissait depuis déjà cinq bonnes minutes. Oui, elle le dérangeait, ça c'est le moins que l'on puisse dire. A cet instant, il n'avait pas la moindre envie de voir qui que ce soit. Il aurait voulu pouvoir demeurer plusieurs heures ici, avec pour toute compagnie son précieux livre, et le bruit apaisant de la cascade. Mais de toute évidence, il n'allait pas en être ainsi. Heureusement, avec le temps il avait appris à maîtriser ses émotions et à feindre à la perfection la joie et l'amabilité, quand bien même il mourait d'envie d'envoyer valser la jeune femme. Mais cela, il ne pouvait pas se le permettre. Il fallait qu'il fasse avancer son enquête, et, pour cela, il était inévitable qu'il se lie d'une manière ou d'une autre aux résidents de ce fichu château. Il espérait que celle-ci se montrerait un peu plus sympathique que certaines personnes qu'il avait eu l'occasion de rencontrer ici. Mais à première vue, cela semblait plutôt bien parti. Il savait parfaitement ce qu'il avait à faire.
▬ Moi c'est Konstantin.
Dit-il avec un sourire engageant, en esquissant un léger mouvement de tête pour faire signe à son interlocutrice de le rejoindre. Son regard se posa un instant sur le gigantesque loup, qui se tenait toujours à côté d'elle. Il grondait. Il se méfiait... Sentait-il que quelque chose n'allait pas, entre Konstantin et Nox ? Était-ce possible... Ce n'était pas la première fois qu'une telle chose arrivait. Il se souvenait parfaitement du jour où il avait rencontré Emily, et que son Cerbère avait réagi d'une manière semblable. Cela ne le rassurait pas... Il nota silencieusement dans un coin de sa tête d'appeler John dès qu'il regagnerait sa chambre, pour lui parler de ce problème. Hors de question que sa couverture soit ruinée si facilement, il n'avait pas la moindre envie de se faire déchiqueter par ce mastodonte à fourrure. Mais ce n'était pas le moment d'y penser. Ses yeux gris dévisagèrent à nouveau Esterina. Il allait la cuisiner, cette petite-là. Une chose était sûre, ce soir, ce ne serait pas Amarok le véritable grand méchant loup...
Esterina Salvatore
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator Sam 11 Fév - 14:00
Esterina se laissa glisser de son animal pour pouvoir retirer tout les objets qu'il y avait. Sa petite baigade tombait a l'eau, mais cela la dérange que peu. Elle était plus une fille a aimer rencontrer des gens car encore maintenant elle trouvait fascinant les habitant du chateau malgré qu'elle en était une. Rendu au côter de l'homme d'age mure elle se laissa s'affaller au sol ramenant sa cape sur les cotercomme une petite couverture.
Elle fut heureuse de savoir qu'elle ne le dérangeait pas , par contre le chien d'attaque lui avait l'air des plus déranger par la présence d'un loup aussi gros et en devinait sa puissance, probablement. Esterina tendis la main vers le doberman pour essayer de le calmer. D'une voix calme elle dit au canidé qui semblait l'écouter.
-Inquiéte-toi pas Amarok ne feras aucun mal a ton ami, si je suis pas en danger avec lui.
Effectivement Amarok était surprotécteur, au moindre danger véridique ou pas il agissait. elle en avait eu une preuve la dernière fois avec Théo. Parce qu'il était trop près d'elle, parce qu,elle ne savait pas quoi faire et avait paniquer , il était devenue complétement fou. Esterinma enregistra le nom de l'homme d'un mouvement de tête. Elle lanca un regard a son loup qui était rester plus loin pour étancher sa soif dans l'eau de la cascasde. Disons que des bol d'eau normal était pour lui trop petit.
Il faudrait presque qu'une bassine pour enfant pour le satisfaire d'eau. La jeune femme attira le panier rempli de nourriture vers elle et l'ouvris pour en sortire une petite nape. Elle avait assez de nourriture pour deux humain car au début elle avait prévue donner quelque morceau de nourriture a Amaraok, mais la bête préférait aller chasser que manger cette nourriture.
- Voulez-vous un peu vin?
Dit-elle en sortant un bonne bouteil de vin, C'était une bonne bouteille qui vallait énormement d'argent. C'était ses parents qui lui avait envoyer et elle n'avait pas trouver d'occassion pour la boire. Si Konstantin était un connaisseur de vin, il en serait des plus ravit. Rien mieu pour parlez autour d'un bon vin bien veillit.
Konstantin H. Reinhardt
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator Sam 11 Fév - 22:40
La jeune femme descendit finalement de sa monture gigantesque et vint s'asseoir près de Konstantin, ramenant sa cape sur ses genoux comme une couverture. En effet, l'air commençait à se rafraîchir un peu, bien qu'il ne fasse pas encore nuit. Nox se tenait toujours un peu à l'écart, observant l'autre canidé d'un air méfiant. Esterina avança une main vers lui, ce qui le fit sursauter. Elle lui parla d'une voix douce, lui disant qu'il n'avait pas à s'inquiéter, que le loup – qui répondait au nom d'Amarok – ne ferait aucun mal à Konstantin tant que celui-ci ne la menacerait pas. Le doberman dressa les oreilles avec surprise et émit un faible couinement, avant de venir renifler la main d'Esterina avec curiosité. Il n'avait pu comprendre un traitre mot de ce qu'elle venait de lui dire, car il n'était qu'un chien banal et sans la moindre capacité psychique, mais heureusement il avait été dressé à la perfection.
Le détective rit intérieurement. Si seulement elle savait... Si seulement elle pouvait voir le Beretta 92 qu'il dissimulait dans la poche intérieure de sa veste. Il se ferait sans doute déchiqueter par Amarok comme un vulgaire morceau de bidoche. Mieux valait jouer la carte de la prudence, avec ce genre de bête... Heureusement, il ne semblait plus se préoccuper de lui, et était resté près de la cascade, la tête penchée au dessus de l'eau, qu'il lapait à grands coups de langue. Esterina entreprit alors de sortir du panier qu'elle avait apporté une petite nappe, qu'elle déplia et étala devant elle. Apparemment, elle avait décidé de pique-niquer là, ce qui n'était pas une mauvaise idée en soit. Comme ça, elle ne risquait pas de s'envoler sans crier gare, et Konstantin aurait le temps de lui soutirer quelques informations...
▬ Voulez-vous un peu de vin ?
Dit-elle soudain, en sortant une bouteille de son panier et en se tournant vers lui. Le détective se pencha pour lire l'étiquette et ne tarda pas à ouvrir des yeux ronds. Un Château d'Yquem 1981. Elle ne s'embêtait pas, cette petite... Konstantin ne pouvait pas se vanter d'être un expert en vins, mais d'après le peu qu'il y connaissait, il savait que pour lui sortir le plus naturellement du monde une bouteille de millésime à six-cent euros, Esterina ne devait pas manquer de quoi vivre. Intéressant... Il esquissa un sourire satisfait, avant de se redresser.
▬ Château d'Yquem, mein Gott... Volontiers. Ce serait un crime de refuser un verre de ce Sauternes si délicieux.
Répondit-il en regardant la bouteille avec envie, bien malgré lui. Il n'avait eu l'occasion d'y goûter qu'une fois dans sa vie, et il devait bien reconnaître que c'était sans doute l'un des meilleurs vins qu'il ait jamais bu. Il était maintenant pleinement satisfait. Quand bien même il ne réussirait pas à tirer quelque chose de valable de cette jeune femme, il aurait au moins bu un bon vin, c'était toujours ça de pris.
Esterina Salvatore
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator Mer 15 Fév - 3:12
Esterina remarqua qu Konstantin avait l,air interresser par la bouteille de vin. Elle savait que pour les gens dit dans la classe "moyen". elle était contente que ce vin plaise a l'homme car pour Esterina il était un bon vin, mais a l'habitude on s'habitue justement. La jeune femme sortie deux coupe envelopper de velour du panier. Si elle avait appris quelque chose de la part de son père c'était bien que même si l'on crois aller prendre un vin seul, l'on ne fini jamais seul. Alors elle déshabilla les coup avant de verser l'essence de vie dedans. Elle aimait bien la couleur de ce vin, un dorée presque parfait. Elle en tendit une coupe pour faire une "tchin"
Esterina entrepris de sortie quelque fromage aussi sur la nappe, tous de très bon fromage roquefort. Quoi de mieu avec du vin! elle sortis aussi de petite assiette de porcelaine et des biscotte de bon gout. Avec la cascade en arrière plan le moment était si détendu.
La jeune femme attendu par la pensée son animal qui lui faisait part qu'il allait revenir bientôt, aprèes avoir fini d'enlever le son sur sa machoire. Elle observa discretement le chien et son maitre. Il avait l,aire étrange. Aucun regard, il n'avait pas l,aire de se parler complétement dans leurs bulle a eux. Peut-être était-il en froid ou peut-être qu'ils étaient plus suptile pour parler ensemble que les jeune adulte qu'elle rencontrait au chateau. En même temps sa serais normal vue que l'homme avait l,aire plus vieux donc habituer a discuter sans se faire remarquer. Sa devait être sa.
-Sinon, vous êtes au chateau depuis longtemps?
Demanda-t'elle innossament, cette jeune femme était aussi dangereuse qu'un chaton sans griffe. Elle faisait confiance en tout le monde car elle n'avait pas appris a se méfier. Le seul danger qu'il y avait pour les deux escros, enfaite surtout pour Konstantin était Amarok, le loup légendaire,incontrôlabe et surtout méfiant. Avait ses plusieurs, mais plusieurs année de vie il ne connaissait que trop bien les homme et il était dure a berner. Malgré qu'avec la présence d'esterina, si elle décide que l'homme est digne de sa confiance la bête n'avait que le choix de se soumettre ou de partir. En parlant du loup il arrivait a pas de velours par derrière l'homme.
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Sujet: Re: The disease that we crave ; Esterina Salvator